Comme promis, voici la suite de mon billet de samedi dernier.

On continue la visite du musée de la soie à Taulignan.

La visite se termine par une petite boutique avec de jolis articles. Mais je n'ai pas craqué, mes moyens financiers ne me le permettant pas...

Un dernier coup d'oeil aux bombix et cocons, pour leur dire au-revoir.

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Et voilà, la visite est finie. Je ne vous ai pas mis de commentaires sur ce billet, j'en avais assez mis sur le premier.

Nous avons trouvé cet endroit très intéressant, sachant que notre papa a travaillé dans une filature à Saillans (Drôme) durant la guerre. On a donc pu se rapprocher de lui pendant quelques instants.

J'espère que cela vous aura plu.

Bisouilles

Calinquette

Bonjour à toutes et à tous.

Continuons notre visite dans les rues de Valaurie.

C'est un tout petit village, mais plein de tours et de contours. De montées, de descentes, de coins et de recoins. Il est très agréable pour celles et ceux qui aiment les vieille pierres, comme moi. Alors si vous passez par la Drôme durant vos vacances, un petit arrêt s'impose !

Douce journée.

Bisettes du mercredi

Calinquette

Comme je vous dit la dernière fois, entre deux essayages de couture pour les préparatifs du mariage notre nièce, ma soeur et moi en avons profité pour faire quelques visites drômoises.

La première fut le musée de la soie à Taulignan.

Nous avons fait la visite seules, aidées par deux films explicatifs que j'ai essayé de vous retransmette sous forme de diapositives.

La sériciculture à Taulignan

Maintenant que vous savez tout sur le sujet, je vous propose les photos que j'ai faites tout au long de la visite.

Le musée de la soie de Taulignan expose tous les outils qui ont aidé à la fabrication de la soie, de la période manuelle à l'industrialisation.

Afin de ne pas vous saouler je m'arrête ici pour aujourd'hui.

La suite dans un prochaine billet.

En attendant, je vous souhaite une belle fin de semaine et vous fais des bisettes toutes douces.

Calinquette

Une des premières choses que j'ai achetées pour mon nouveau chez moi a été un paillasson.

Parce que je voulais qu'il en soit ainsi. Une maison douceur où le blanc règne en maître et où la décoration me correspond tout à fait.

Pour ma cuisine, j'ai acheté des meubles blancs, ainsi que tout l'électroménager, puisque monsieur a tout embarqué.

Puis, mes meubles sont arrivés et se sont intégrés.

Seul problème : la table et les chaises étaient pourries. Des traces de couteaux, de coups, de la saleté qu'il m'a fallu nettoyer avec de la javel, les transferts noircis de graisse, les assises salies par un an de pantalons de travail assis dessus.

Grâce à une astuce de ma soeur, j'ai pu récupérer les assises. Mais pour la table, le C.... B... javel n'a pas suffi. Il m'a fallu enlever les transferts et tout repeindre. Donc, c'est maintenant tout blanc uni.

Un petit plus dans la cuisine. J'ai trouvé un joli cadre pour y mettre le superbe chat que Monique m'avait offert.

Ce que j'ai surtout aimé dans mon nouveau Home Sweet Home, c'est sa luminosité. Rien de mieux dans une cuisine !

Je repars de zéro, avec un style plus moderne que celui que j'avais avant, mais bien plus pratique avec ses nombreux tiroirs. J'aime la clarté de la pièce.

Voilà pour la cuisine. Ca vous plait ?

Avant de vous quitter, Nicole propose de gagner une petite déco de sa magnifique table... C'est ICI.

BiZoux ! BiSous !

Calinquette

Avec ce billet qui sera moins long que les derniers, je clos le dossier Jura.

A cause de mes ennuis personnels d'il y a plus d'un an maintenant, je me suis, un temps, retrouvée dans cette région. Je dois avouer que j'en suis tombée amoureuse. D'où les derniers messages que j'ai publiés pendant ces dernières semaines.

Dans le Jura, on rencontre de nombreux lacs qui portent à la tranquillité, tout ce dont j'avais besoin.

Je vous en ai déjà montré plusieurs. Aujourd'hui, je vous présente celui de Barésia sur l'Ain,.

Il n'est pas très grand, mais surtout, il est un peu isolé et peu fréquenté, d'où son intérêt pour moi. Ce jour-là, c'était midi pique-nique au bord de l'eau, dans un cadre magnifique.

Après un bon repas partagé, une petite balade pour certains, du paddle pour d'autres, de la bronzette pour ce qui aiment le soleil, des jeux, de la lecture. Nous étions une vingtaine, ce jour-là. Ce qu'il y a eu de bien dans mon malheur, ce sont les amitiés que j'ai liées là-bas. Personnellement, je me suis mise à l'ombre, laissant chaussures et chapeau, pour m'allonger et regarder le ciel au travers des arbres. Et me remémorer les bons moments passés entre amis et famille.

Se souvenir des câlins de Milo et Sélina, les instants où je donnais une gâterie aux biquettes...

... le bons repas partagés, les visites de la région, etc.

Ainsi se termine mes souvenirs jurassiens.

J'espère que vous aurez aimé ces balades en ma présence.

Mais toute bonne chose a une fin...

A bientôt pour d'autres billets.

BiZoux !

Calinquette

Une nouvelle année à découvrir,
Aller plus loin,
Regarder autrement,
Rêver d'ailleurs,
Écrire de nouvelles histoires,
Changer d'avis,
Souffler un instant,
Goûter aux plaisirs simples,
Savourer chaque instant.

Que 2020 soit pour vous une année pleine de joies

Que l'amitié et l'amour ne vous fassent jamais défaut,

Que la prospérité s'invite chez vous.

Je vous souhaite une nouvelle année remplie

De sourires, pour chasser la tristesse,

D’audace, pour que les choses ne restent jamais en place,

De confiance, pour faire disparaître les doutes,

De gourmandises, pour croquer et déguster la vie,

De réconfort, pour adoucir les jours difficiles,

De générosité, pour se nourrir du plaisir de partager,

D’arcs en ciel, pour colorer les idées noires,

De courage, pour continuer à avancer !

Faisons tous un vœu, un vœu fou et grandiose et consacrons cette nouvelle année à le rendre réalisable.

Dire « oui » au bonheur

Dire « non » à la mauvaise humeur,

Dire « peut être » à l’avenir,

Dire « je ne t’oublie pas » aux souvenirs,

Dire « adieu » au stress,

Dire « pourquoi pas » à la paresse,

Dire « j’ai compris » aux erreurs,

Dire « plus jamais » aux jugements de valeur,

Dire « pardon » à la peine,

Dire « bye bye » à la haine,

Dire « heureusement que tu es là » à l’humour,

Dire « pour toujours » à l’amour,

Dire « reste là » à l’envie,

Dire « je t’aime » à la vie !

Très belle année 2020 !

Bisouilles de Calinquette

Coucou la blogo ! C'est Khanna Byss !

Ca faisait longtemps que je n'avais plus pris la souris pour vous faire un coucou... J'en profite pour vous souhaiter une belle année 2020.

Et surtout remercier Arlette pour la superbe carte qui a beaucoup touché maman par sa beauté et ses mots.

Depuis que nous sommes dans notre Home Sweet Home, je n'ai plus le droit de sortir. Maman craint pour moi maintenant que nous sommes en centre ville. D'ailleurs mon frère Guisou ne supportant plus de rester enfermé a choisi de sortir pour ne plus revenir. Alors vous comprendrez que maman Calinquette ne va pas me permettre de mettre une patte dehors sans son accompagnement... Elle est bien trop triste de cette disparition.

Cependant, comme elle a conscience que cela me manque, elle me sort de temps en temps. Etant donné que j'ai peur des voitures, elle me met dans un sac pour traverser la ville.

Et quand on arrive au parc, elle me libère (dans la limite de ma laisse et de sa ficelle).

Du coup, c'est moi qui ai fait les photos du ciel du lundi pour Arlette, que je salue tout comme ses chats. J'en ai profité pour chercher d'éventuels oiseaux à me mettre sous la dent, mais en vain...

Je n'ai peut être pas trouvé d'oiseaux, mais je me suis bien amusée, grattant la terre et jouant au bâton, comme j'aime beaucoup le faire. En prime, j'ai eu plein de caresses d'autres promeneurs. Le top !

Il est temps pour moi de rendre la souris à maman, il faut dire que tout cela me fatigue très vite. Je vais donc de ce pas me reposer un peu.

Calinquette et moi vous souhaitons une merveilleuse semaine.

Miaou ! Miaou !

Nous sommes restés prisonniers plusieurs semaines dans nos chez-nous à cause d'un virus.

Nous en avons profité pour faire des masques, pour l'après. (Voici ma dernière collection. La moitié était pour ma fille qui a d'ailleurs embarqué le museau chat).

Pendant ce temps, la planète s'est mise à respirer à nouveau.

Nous avons appris à dire "Merci" à ceux qui ont combattu de front l'épidémie.

Et puis, il y a eu l'après.

On a acquis de nouvelles habitudes. Même si elles parfois cruelles, quand on revoit sa fille après de longues semaines et qu'on ne peut pas la prendre dans ses bras, l'embrasser...

Mais certains n'ont pas retenu la leçon. La preuve en est de quelques photos prises lors de mes sorties. Un sac à crottes de chien laissé sur le trottoir, un gant abandonné devant une poubelle... Sans commentaires !

Et puis, on prend de nouvelles habitudes. Comme ci-dessous la nouvelle salle d'attente d'un coiffeur de ma ville...

On trouve quand même de jolies vitrines.

N'ayant plus de jardin, je m'adapte et profite de la nature ou de ceux des autres, et je prends des photos de fleurs tout au long de mes promenades, pour me changer les idées.

J'en profite pour faire des bouquets, ramasser des cerises sur un arbre abandonné, du tilleul pour de futures infusions.

Je fais des confitures, un clafoutis.

Bref, j'essaie de ne pas trop penser à l'après.

La crise mondiale liée au Covid-19 a été une épreuve pour toute l’humanité, notamment pour les plus vulnérables, ébranlant nos codes, nos habitudes, nos liens sociaux, notre économie, notre environnement et tout notre quotidien. Cette crise a aussi révélé les limites de nos différents modèles de pensée et du fonctionnement de toutes nos sociétés.

J'espère que l'après sera fondé sur un nouveau modèle plus solidaire, résilient aux risques climatiques et écologiques, soutenable et protecteur des citoyens. Il nous faudra sans doute réinventer notre société, apprendre à nous remettre en question et nous centrer sur l'essentiel pour l'avenir. 

Souhaitons que nos vieilles mauvaises habitudes seront mises au rebut, pour créer un monde plus sain.

L'après me fait encore peur. Sans doute parce que je vois cela de loin, n'ayant toujours pas repris mon travail, de nouveaux soucis de santé m'en empêchant, avec une nouvelle intervention chirurgicale en perspective... Cependant, nous sommes déjà dans l'après et il faut avancer pas à pas. Je mets donc un pied devant l'autre, doucement, mais sûrement. Espérant un monde meilleur, après tout ce qu'on a vécu.

Suis-je la seule à avoir de l'inquiétude pour l'après ou êtes-vous plus confiant(e)s que moi ? Et vous, qu'avez-vous modifié dans vos comportements, par rapport à cet après ?

Dans l'attente de vos réponses, je vous fais plein de bisettes.

Calinquette

Le masque parle.

Il n’est pas seulement fascination visuelle, altération du visage ou signe d’un autre monde. Il est d’abord et surtout altération de la voix, étrangeté des paroles ordinaires et discours  d’ ailleurs ou d’au-delà.

L’enfant longtemps joue au pied de sa mère et entend cette voix de nulle part, reçoit des discours étranges à la fois familiers et hermétiques.

Les théâtres à masque déforment la voix : pour qu’elle cesse d’être familière, évoque la résonance à la fois proche et lointaine de la raison parlée et non encore comprise.

Le masque porte plus loin et au plus profond les résonances de la vie et des premiers échos de la parole. Il fascine dès la tendre enfance, agrémente les arts de la représentation, parle au plus intime de nous-même.

Tout poème est masque évoquant la plus antique émotion, révélant l’espoir de la vie.

Le poète, prisonnier de masques mystérieux, tente de les faire parler et espère que l’écho éveillé en chacun lui reviendra comme révélation de lui-même.

Le masque est un autre.

Le masque est l’autre qui se révèle par la parole. Le masque peut s’enlever pour laisser le visage dire son émotion propre, sa vie.

Indispensable en quelque sorte pour mettre en lumière, alors qu’il met dans l’ombre propice des confidences universelles.

Jean-Marc Muller

Le masque, destiné à dissimuler, représenter ou imiter un visage, assure de nombreuses fonctions, variables selon les lieux et l'époque. Simple divertissement ou associé à un rite, œuvre d'art ou produit normalisé, il se retrouve sur tous les continents. Il est tantôt associé à des festivités (Halloween, Mardi gras), tantôt à une fonction (chamanisme, relique funéraire). Il peut aussi représenter des animaux tels que le chat représentant dans certains pays l'indépendance.

Le masque, même lorsqu'il n'y exerce pas son rôle principal, constitue lui-même une œuvre d'art en tant qu'il est fait de recherches formelles. Des artistes comme Auguste Rodin ou Jean Carriès en sculptent ainsi sans leur impartir une autre fonction. Des masques originellement dévolus à des pratiques magiques ou mystiques inspirent également des peintres comme Georges Braque et Pablo Picasso au début du XXe siècle1. Néanmoins, le masque apparaît souvent comme l'élément d'un costume, un accessoire destiné à changer l'allure de son porteur. Sa signification se précise alors à la lumière d'événements particuliers, comme le théâtre ou la fête.

 Des masques anciens

Des masques funéraires

En architecture, masque se dit aussi des représentations de visages d'homme ou de femme, dont on se sert dans les ornements de sculpture et de peinture. Le mascaron, de même racine, désigne plutôt les visages grimaçants ou menaçants, à valeur supposée apotropaïque.

Des masques de théâtre, comme pour le théâtre grec antique et son héritier le théâtre latin, le théâtre masqué balinais, la commedia dell'arte, le nô japonais.

Les masques à gaz durant la guerre.

Des masques de protection dans le sport. Le masque de catcheur, devenu symbole du catch, surtout utilisé par les catcheurs mexicains (luchadores) pour lesquels cacher son visage avec un masque est une tradition.

Des masques pour protéger les animaux des mouches.

Des masques purement ludiques comme la bauta vénitienne en est un des plus célèbres. En cachant son visage aux personnes qu'il rencontre, le masque autorise son porteur à jouer un rôle tout différent de sa propre personnalité, avantage notamment recherché à l'occasion des carnavals et bals masqués. Ils peuvent aller du simple loup aux constructions les plus élaborées, en cuir, en papier mâché, en bois, peints, ornés de plumes et de joyaux.

Et depuis quelques temps des masques humour liés au Coronavirus.

Bref, depuis la nuit des temps, le masque a accompagné les humains. Cependant de manière épisodique.

Toutefois, cette année, il va faire partie intégrante de la :

Certains couturiers s'y étaient essayés, mais par forcément avec succès...

Et si, dès le départ, notre Président ne les conseillait pas, Calinquette en a fait pour elle, puis sa fille qui a repris le travail en magasin, en contact avec la clientèle.

C'est parti pour le défilé de mode de Cal', avec quelques images humoristiques...

J'ai commencé par un tout simple rose pâle des deux côtés, molleton à l'intérieur. (Un peu chaud pour respirer.)..

Puis j'ai continué avec des notes de musique, doublé de coton beige. A partir de là, tous les masques ont été cousus avec trois épaisseurs de tissus tissés très fin. Je peux souffler sur une bougie, elle ne s'étteint pas.

Deux autres, avec du tissu Paris doublé de deux couches de toile à traversin. On peut les retourner pour changer de look. La seule différence réside dans la couleur de l'élastique.

Dans le même style, j'ai ajouté de la dentelle noire. Un peu plus classe pour sortir.

Trois couches de toile à traversin, petit ruban de lin aux coeurs rouges.

Toile à matelas, toile de traversin.

Vieux rose doublée de toil de traversin, dentelle aux papillons.

Enfin, je me suis essayée à faire une visière pour fifille.

J'ai dû m'arrêter là, n'ayant plus de tissus puisque je n'ai pas pu récupérer les miens qui étaient moisis, parce que monsieur s'en est servi pour éponger une fuite au chauffe-eau après mon départ. Alors, j'en rachète petit à petit. Les magasins étant fermés, je n'ai pu continuer, d'autant plus que j'ai utilisé tout l'élastique que j'avais...

Maintenant qu'on ne pourra sortir que masqués, je suis parée pour les premiers temps. J'attendrais la réouverture des enseignes de tissus pour en refaire.

J'ai essayé de faire un billet léger sur le sujet, mais ce n'est vraiment pas évident... Alors je vais m'arrêter là.

En tout cas, ce ne sera pas facile de travailler toute la journée avec ces choses sur le nez... Ce satané virus nous en aura fait voir !!! J'espère qu'on trouvera rapidement comment l'héradiquer, parce que ce n'est pas facile de ne plus voir ses proches, de pratiquer tout le temps les gestes barrières et de respirer à travers du tissu, de craindre pour la santé de ceux qu'on aime ou qui sont en première ligne...

Je vous fais de gros bisous.

Calinquette

Nous sommes entrés dans notre nouvelle maison en 2004. Entre le travail et le manque de temps, nous avons installé les meubles, sans avoir eu le temps de peindre les murs.

Dans le salon, j’ai transformé en canapé, le petit lit où mes frères, ma sœur et moi dormions, quand nous étions petits. Mes neveux et nièces, puis mes enfants en ont aussi profité quand nous étions chez mes parents. C’est pourquoi j’y tiens tant. J’ai fait des housses en toile de jute, avec de la dentelle.

Classique avec une baignoire. Deux jolies vasques trônent sur une paillasse carrelée. J’ai mis un rideau fait d’un  vieux drap monogrammé pour cachet les étagères sous la paillasse.

C’est ici que j’ai fait mes premiers essais d’effets muraux. Enduit spécial passé à la spatule, puis vernis en mauve.

Le meuble qui vient aussi de mes parents, était couvert d’un verni foncé. Je l’ai poncé, peint en blanc cassé et j’y ai mis des arabesques et animaux faits au pochoir. Idem pour la chaise.

En guise de miroirs, j’ai utilisé deux vieux cadres, héritage de mes parents, dont j’ai refait plus de la moitié des moulures en plâtre.

J’ai détourné un ancien casserolier que mon père avait réalisé de ses mains, en petite étagère. Je l’ai peint de la même couleur que le meuble. J’ai trouvé à Casa de jolis petits anges que j’ai collé dessus, ainsi que de très beaux boutons en porcelaine.

Une échelle à poules sert de porte-serviettes.

Aujourd'hui, je viens vous montrer quelques pièces de ma collection personnelle.

Quelques verres anciens héritage de famille :

Crital ciselé

Le verre de mon grand-père, à son prénom

Verres ciselés et cuillère à absinthe

Etain et argenterie

Vase en étain

Pichet en argent

Porte couteaux en argent

Cuillère à sel

Chandelier en argent

Lorsque ma fille aînée s’est mise en ménage, elle a emménagé dans une vieille maison de ville tout juste retapée. Dehors, prêtes à partir à la benne, de jolies vieilles tuiles. J’en ai récupéré des plus belles et j’ai eu envie de mettre à les peindre.

La première fut une tuile coccinelle, pour une amie passionnée de ces petites bêtes.

Puis, au fil des jours, j'ai continué à me faire plaisir. Ici une tuile fleurs où j'ai laissé le support dans son jus, sans enlever le voile de ciment qui était dessus :

Ici une tuile fleur de lys - arabesques

Une tuile chats...

Une tuile arabesques :

Tuile olivier :

Tuile animaux :

Tuile lierre :

Tuile pointetia :

Tuiles en préparation :

A suivre...

Bonjour tout le monde

En avril 2008, j’ai enfin trouvé la table qui me plaisait pour ma cuisine. En fait, je l’avais déjà, mais il me fallait la relooker. Je suis revenue sur le thème de la vigne.

Tout d’abord, après ponçage, j’ai peint la table en blanc-grisé . J’ai ensuite passé au chiffon, une cire bleue, de manière à faire un effet à l’essuyé.

Comme je voulais que cela s’associe avec les couleurs de ma cuisine (blanc, bleu et jaune), j’ai décidé de peindre les fruits en jaune et bleu.

Il faisait beau, ce jour là, j’ai donc laissé sécher ma table dehors. Puis, j’ai copié un dessin trouvé sur « Marianne Maison », sur des feuilles de papier calque. Afin de reproduire au mieux les motifs, j’ai glissé entre la table et le papier du carbone bleu. J’ai donc décalqué le tout et le soir venu, j’ai tout laissé, dans le but de peindre ma vigne dès le lendemain matin.

Mais qu’elle ne fut pas ma surprise, le jour suivant ! Il avait plu dans la nuit. Le carbone a déteint sur la table… Au final, lorsque j’ai décollé le tout, j’ai trouvé que de cet accident pouvait donner du style à mon meuble. J’ai laissé les traces de bleu et j’en ai tiré partie, pour un effet vieilli qui n’était pas si mal que ça. Je vous en laisse juge. Voici les différentes étapes du ponçage à la réalisation :

J'ai fini par deux couches de vernis incolore. Alors, vous en pensez quoi de cette table ? Dans l'attente de vos commentaires, je vous dis à bientôt.

Question : Que faire avec de vieilles caisses en bois comme celles-ci ?

Réponse : des tables de nuit…

J’avais récupérées deux vieilles caisses chez mes parents. J’ai trouvé des palettes dont j’ai découpé les planches, soutenues par deux traverses, afin d’en faire des portes. J’ai poncé et traité le tout, puis j’ai cérusé en blanc. J’ai acheté des charnières et deux poignées de portes.

Deux tables de nuit pour trois fois rien. Je ne les ai pas gardées longtemps. Elles plaisaient tellement à mon filleul, que j’ai fini par les lui donner. Elles sont maintenant dans sa chambre, en Lorraine.

Cette année, dans mon entourage, nombreux sont ceux qui fêtent leurs cinquante ans. Hier, c'était au tour d'un copain. Invitée chez lui, avec toute la "bande", je lui ai fait, à lui aussi, cinquante balais. J'ai acheté une boîte en bois, sur laquelle j'ai peint un cinquante. A l'intérieur, ses trois passions : la natation, la course à pied et le vélo. J'ai ajouté une photo de lui, prise le week-end dernier, en perruque rose et chapeau ici floutée, car je n'ai pas permission de mettre son visage sur mon blog). Dans la boîte, même tarif que mon amie, samedi dernier, cinquante petits balais.

Calinquette

Vous êtes de plus en plus nombreux à venir sur mon blog. Cependant, vous ne me laissez pas de messages. Un petit commentaire, positif ou négatif, est toujours le bienvenu. C'est ma nourriture et cela m'aide à avancer, à vous satisfaire au mieux de vos attentes. Cela ne prend qu'une minute, mais, cela fait tellement plaisir ! Pensez-y...

Vous  souvenez-vous les pelles que je vous ai montrées dernièrement et que j'avais transformées en appliques ? Dans le lot, il y avait aussi une pioche toute usée. Après avoir stoppé la rouille, j'y ai peint des fleurs roses, et j'ai stabilisé le tout au vernis. J'ai mis un réceptacle à l'endroit où se trouvait le manche, pour y placer une bougie.

Petites choses de pas grand chose...

Bonjour,

Comme je vous l'ai annoncé précédemment, j'ai été invitée par Bosch, afin de participer au lancement du coin des bricoleurs. Un samedi exceptionnel, riche en rencontres et partages.

Nous étions une cinquantaine et avons été reçus comme des rois. Tout d'abord, train, hôtel et petit déjeuner pris en charge par Bosch, navette jusqu'au lieu de rencontre, à savoir La Cartonnerie à Paris. Comme son nom l'indique, une ancienne cartonnerie, transformée en lieu de rencontres événementielles. Un endroit exceptionnel, plein de charme, rempli de jolies chines, comme vous pourrez le constater sur les photos que j'ai prises.

La cartonnerie, comme son nom l'indique est une ancienne fabrique de cartons

La Cartonnerie est un lieu qui reçoit aussi des artistes connus (Isabelle Adjani, Jean Dujardin, Jamel Debbouze, David Lynck), se transforme en rues du 19ème siècle pour des tournages de films, sert à des shootings de mode, des séminaires, des ventes de brocantes, il y a aussi des concerts. L'endroit se transforme au gré des besoins, peut parfois devenir restaurant... 

Le matin, après un nouveau petit déjeuner,on nous a expliqué le fonctionnement de la journée et présenté le lancement du coin des bricoleurs. Nous avons formé cinq équipes, pour le challenge de l'après-midi. Une devait faire des meubles avec des palettes ; la deuxième, des créations à partir de caisses de bouteilles de vin en bois ; la troisième, de la peinture sur mur bosselé ; la quatrième, un relooking d'une étagère Ikéa ; et la dernière, du détournement d'objet, en fabricant des luminaires avec des bols.

Après le partage d'un super buffet, nous avons pratiqué nos activités.

En fin d'après-midi, le jury, a désigné les créations selon les critères suivants : la plus minimaliste, la plus originale, la plus créative, la plus technique et la plus décalée. Les gagnants se sont vu remettre un trophée. Nous avons fini la journée autour d'un pot de départ, avant que Bosch offre à chacun d'entre nous un des outils utilisés lors de cette rencontre !  Et d'autres cadeaux encore ! Incroyable.

J'ai adoré cette journée, riche en rencontres toutes plus sympatiques les unes que les autres. De l'équipe de Bosch, jeune et dynamique, aux autres participants. C'était convivial à souhait, un partage d'expériences diverses et variées. Des créations magnifiques et surprenantes.

La prochaine fois, je vous montrerai ce que chaque équipe a réalisé. De belles oeuvres, vous pouvez me croire ! Bref, une journée formidable et inoubliable. Même ma fille Gwendoline, qui m'accompagnait et qui n'est pas du tout bricoleuse, a totalement participé, c'est vous dire. Mais, là je vais me reposer. Je suis épuisée de ce week-end parisien, et demain le travail alimentaire doit reprendre...

Je ne suis pas revenue les mains vides, j'ai ramené avec moi une scie circulaire. Pas facile de la transporter avec les bagages dans le métro et le train, le carton ets franchement imposant ! Heureusement que ma fille était là pour m'aider...

Bonne soirée et à bientôt pour la suite de mes aventures parisiennes...

Calinquette

Bonjour tout le monde !

Dans le petit coin d'Ardèche, où je vis, chaque année se déroule la course cyclosportive nommée l'Ardéchoise. Elle a lieu sur plusieurs jours et plusieurs parcours différents sur le département, mais plus spécialement centré vers chez moi. Elle est représentée par les couleurs jaune et violet. Dès que la course s'annonce, on voit pousser plein de vélos, de toutes tailles, des panneaux originaux et de drôles de bonhomme, un peu partout. Même en hauteur. Regardez :

Après ça, ne me dites pas que les ardéchois n'ont pas d'idées... Et chaque année, de nouvelles trouvailles apparaîssent.

Et pour ceux qui aiment le vélo, les côtes un peu rudes, venez visiter notre petit coin de paradis...

A bientôt

Calinquette

Toujours dans la continuité de mes relooking d'objets de brocante, cette fois-ci, je vous montre la poèle à châtaignes, abandonnée, elle aussi, au triste sort de la poubelle. Après nettoyage, j'ai peint des roses blanches, jaunes et roses et j'ai vernis l'objet.

Cette poêle a bien été vendue. Encore un objet qui a trouvé une seconde vie...

Bonjour,

Je ne sais pas vous, mais moi, personnellement, j'ai eu une superbe fête des mères. Mes filles m'ont trop gâtée ! Cela s'est fait à la maison, mais elles avaient tout préparé. Un super repas, de jolis cadeaux. J'ai surtout eu, entre autres, un rosier Pierre de . Une splendeur !

Au départ, nous avions prévu de manger dehors, mais comme il a plu, nous avons été obligés de changer notre fusil d'épaule et de mettre la table à l'intérieur. Du coup, j'ai eu envie de faire une déco minute, avec ce que j'avais à la maison. Cela faisait très girly, mais, j'adore le rose et au final je ne suis pas mécontente du résultat. J'ai fait cela, un peu dans l'esprit des roses que je vous ai montré dernièrement. Et ça allait très bien avec le petit pot de marguerites et le livret de poèmes sur les mamans, que mes puces m'ont offerts. Je vous montre :

A bientôt

En ce moment, je suis à fond sur le bricolage. Aussi, je n'ai pas beaucoup de temps à moi, entre le boulot, le blog et Bosch. Mais je pense quand même à vous. La preuve.

Je vous montré, il y a peu, la table de salon de jardin que j'ai peinte en bordeau. Et bien, cette semaine, je me suis attaquée aux chaises. J'attends du monde et je me devais de les mettre au propre.

Au départ, elles étaient vernies en chêne foncé, puis je les avaient peintes en blanc. Mais entre le soleil et les trois semaines à moins 15°, de cet hiver, elles ne ressemblaient plus à rien. Elles avaient la pelade et quatre d'entre elles s'étaient complètement décollées.

En voici une avant (une qui n'avait pas besoin de collage) :

Je les ai poncées :

Je les ai recollées. Et puis, comme la paille était abîmée sur la plupart, j'ai fait un coussin en velours beige-taupe. Mes chats sont moins contents, car il aimaient faire leurs griffes sur la paille, mais moi, ça me convient parfaitement. Cela  fait plus propre et c'est plus agréable à l'assise. Et comme elles sont amovibles, c'est parfait pour l'entretien.

Après, je les ai peintes en bordeau. Et voilà le résultat final. Celafait plus moderne, et surtout, c'est beaucoup plus net.

Les voici toutes les six, autour de la table. Elles sont un peu plus foncées, parce que je ne les ai pas cérusées. Je préfère les laisser ainsi. De toute manière, l'an prochain, elles seront plus claires, après un été au soleil.

En brocante, j'ai trouvé une reproduction de poêle à bois miniature, en fonte. Un jouet d'enfant. Ce jour là, j'étais avec mon filleul, qui est électricien. J'ai eu l'idée, il m'a aidée à la réaliser, car en fait, s'il y a bien quelque chose que je crains, c'est l'électricité. Je suis trop réceptive au courant. C'est ainsi qu'est née la lampe poêle.

Le vice a été poussé jusqu'au bout, avec une ampoule flamme, du plus bel effet...

Une lampe unique, comme il n'y en a nulle part ailleurs... Idéale pour ambiance feutrée.

Et si vous avez besoin d'un électricien de génie (en Lorraine), voici la carte de visite de mon filleul :

Hello ! J'espère que tout le monde va bien. En ce qui me concerne, tout roule. J'ai entamé trois nouvelles créations ce week-end. Je vous en parlerai plus tard. En ce moment, j'ai plein d'idées dans la tête, mais c'est le temps qui me manque. Patience, patience. J'y arriverai bien...

Parfois, il suffit de se trouver au bon endroit, au bon moment. Ce fut mon cas, en ce qui concerne la table que je vous propose aujourd'hui. Remaniement au bureau. De nouveaux meubles de travail, pour un espace plus optimisé. Oui, mais cette table là ? Elle me plait trop, il ne faut pas la jeter. Tu la veux, tu n'as qu'à la prendre, me dit mon chef. Aussitôt dit, aussitôt fait. Mise dans un véhicule de service, elle était chez moi un quart d'heure plus tard.

J'aimais le fait qu'en son centre, il y avait une imitation de cuir, comme sur les anciens bureaux Empire. C'est pour cela que j'ai eu envie de la peindre en rouge bordeaux.

Dans un premier temps, J'ai rebouché les trous avec de la pâte à bois (je ne sais pas pourquoi, mais quelqu'un avait percé la table à certains endroits), puis je l'ai poncée. Il y avait beaucoup de travail, le plateau était rempli d'encre de machine. Après, j'ai passé deux couches de peintures. Après quoi, j'ai cérusé le tout de blanc, sauf la partie imitation cuir.

Après, j'ai trouvé dans le magasine Marianne Maison, une planche où se trouvait de jolies arabesques. Je les ai dupliquées sur la partie "cuir", puis peintes en blanc cassé. Et voici les différentes étapes de ma réalisation :

Le ponçage

La peinture

La céruse

La planche de Marianne Maison

La table finie

J'ai par la suite, fait couper une plaque de verre pour la poser sur le plateau. Celle table est sur la terrasse. Je n'aime pas particulièrement les salons de jardin en PVC ou en teck. Et comme j'aime l'originalité, et que je n'aime pas avoir des meubles comme les autres, elle me convient parfaitement.

Hier, j'ai reçu un joli colis. J'avais commandé des toupies de meubles sur le site "Nain de Jardin". Une belle brocante en ligne, tenue par Anne, une personne très gentille. Je ne résiste encore une fois pas à vous montrer ce que j'ai acheté chez elle. En plus de mes achats, une jolie carte postale ancienne qu'elle a glissé dans un emballage étoilé...

Il ne me reste plus qu'à partiner ces petites choses...

La petite pochette défaite :

Bises de Calinquette