Parce que cette année il s'est fait rare, je viens aujourd'hui partager quelques doux rayons de soleil qui nous ont chauffés dimanche dernier.

Après s'être levés, petit mari et moi même sommes partis en brocante à quelques kilomètres de la maison.

Bien que sortis tard dans la matinée, je n'ai pas regretté le déplacement.

J'ai pu renouveler mon stock de dentelles et broderies.

Je vous laisse juges :

J'ai aussi trouvé une housse d'édredon en parfait état.

Et puis j'ai craqué pour ces petits champignons de bois. Ce sont des pièces de porte manteaux d'école. C'est le grand père de la dame à qui je les achetés qui les a tournés lui même. Je ne sais pas encore ce que je vais en faire. Si vous avez des idées...

Pas pu résister à prendre Khanna sur son grand tas de bois, dans le garage....

Faire un tour au jardin où les fleurs donnent leurs plus belles couleurs.

Ne pas en croire ses yeux. Rencontrer bourdons et abeille qui se laissent tenter par ce printemps précoce.

Etre accompagnée de Guisou, mon semi adopté(comprenez de toute la famille, sauf de Khanna Byss).

Regarder les bourgeons de forsythia.

Et puis, dans l'après-midi, quitter la maison pour une longue promenade.

J'espère que ce dimanche au soleil vous aura fait du bien. En ce qui me concerne, c'était le cas et c'est pour cela que je le partage avec vous.

Très belle journée à toutes.

Bisouillettes.

Calinquette

Avant de commencer mon billet du jour, je tiens à vous remercier pour tous vos commentaires concernant le griffoir de Khanna Byss. J'aurais du vous en parler avant parce que beaucoup d'entre vous m'ont donné des "trucs" anti griffures. Et je vous en remercie vivement. (Mais il n'y aurait pas eu de billet...)

Alors, d'après la majorité d'entre vous, la demoiselle continuerait à faire ses griffes sur le canapé. Seulement cinq pensent qu'elle l'a adopté.

Roulement de tambour !!!

La réponse est : plus têtue que Khanna Byss, il y a Calinquette. Et ce que Calinquette veut...

Cela fait un mois que j'ai fait ce griffoir. Alors j'ai un peu de recul pour vous dire ce qui en est vraiment.

Mademoiselle Khanouille l'a adopté et a rejeté les canapés !

Elle est pas belle la vie ?

Merci les filles pour votre participation. Cela m'a beaucoup amusée.

Revenons à notre sujet du jour.

Parce que certaines m'ont demandé le patron de mon sac, je vous le transmet aujourd'hui.

Je n'ai pas l'habitude de cet exercice, alors j'espère que je serai claire.

J'ai essayé de vous faire des schémas. La prochaine fois, je ferai des photos par étape, ce sera plus simple...

Le tissu fleuri est simulé en jaune.

Les patrons intérieur et extérieur.

La double pochette intérieure.

On commence la couture.

Finir l'intérieur.

La bandoulière.

 Je ne ferai pas une bonne rédactrice de magazines de couture. Mais l'essentiel est là. J'espère que cela suffira à celles qui savent coudre. Une autre fois, il me faudra penser à faire des photos par étapes...

Bon courage à celles qui vont essayer de le refaire. Pensez seulement à me me montrer vos réalisations...

Tout plein de bisouilles.

Calinquette

Sujet du jour (et pour changer un peu) : le chat.

Ou dirais-je LA chatte.

Et pas n'importe laquelle : la mienne.

Parlons un peu de cette minette spéciale, déjà parce que c'est la mienne, mais aussi parce que comme félin têtue, elle se pose là !

Plus ça va, plus Mademoiselle fait ses griffes sur le canapé. Nous voudrions le changer, mais mettre de l'argent dans un sofa qui sera griffé à la première minute, ce n'est pas envisageable.  J'ai tout essayé. Le poivre, l'amoniaque... C'est moi qui ai été dérangée, pas elle.

Et quand je suis au travail, elle ne se gène pas, je ne suis pas là pour la réprimander.

Regardez un peu ce qu'elle a fait du dit canapé !

Alors, avant qu'il ne finisse comme sur cette photo (prise sur le net),

Monsieur Calinquet a acheté un griffoir mural. Pas du tout raccord avec la déco ambiante de la maison...

Que néni, ma princesse s'y est juste frotté le museau. Rien de plus.

Alors, j'ai eu une idée.

Il y a quelques années, j'avais trouvé une grosse écorce de bois flotté pour une décoration de table. Je l'avais laissée dehors.

Mais j'avais remarqué qu'Opium y faisait ses griffes dessus. Et Khanna Byss s'y était mise aussi. Mais comment faire tenir ce bout de bois ?

Et paf, l'idée a jaillie !    

Direction illico presto dehors et dans le garage.

Le bois flotté, une grande branche abîmée en attente d'être coupée pour brûler dans le poêle, une planche de contre plaqué.

Quelques outils, deux grandes vis. J'ai coupé le morceau de bois à environ trente centimètres. Je l'ai percé en son centre, dans la longueur, au diamètre de ma vis.

Un trou dans le contre plaqué, élargi à la base pour rentrer le bout de la vis.

Vous me suivez toujours ?

J'ai placé le bout de bois sur la vis de manière à ce qu'il ne bouge plus. Ensuite, j'ai nettoyé la planche et ai passé un effet bois flotté dessus.

J'ai imprimé des pattes de chat et j'en ai fait un pochoir, appliqué à la peinture noire.

Après séchage, j'ai passé de la patine blanche sur l'ensemble de la planche. Effet vieilli garanti pour être raccord avec l'écorce.

Le temps du séchage, Khanna Byss, qui comme vous pouvez le constater aime le bois, a surveillé l'ouvrage du haut du casier.

Une fois le tout sec, j'ai vissé l'écorce au bout de bois.

Et voilà le résultat. Plus original que tout ce qu'on trouve dans le commerce, et pièce unique.

Une fois l'oeuvre posée par terre, j'ai amené la demoiselle devant. Elle l'a reniflée, contournée et s'en est allée plus loin.

Grrr ! Ingrate !

L'histoire ne dit pas si la belle a fini par adopter la chose ou si elle continue à faire ses griffes sur le canapé.

Je vous propose donc de la terminer.

D'après vous, comment se fini ce billet ? J'attends vos réactions...

A très vite donc.

Gros bisous

Calinquette

C'est un hiver incroyable que nous vivons. Peu de gelées et de neige cette année.

Beaucoup trop d'eau. Surtout pour certains.

Du coup, la nature ne sait plus où elle en est. Tout prend de l'avance.

Les crocus sont en fleurs.

Plus étonnant : les bergénias aussi !

Cela fait un mois que les violettes nous offrent leurs belles fleurs.

Les rosiers, les fruitiers et le forsythia bourgeonnent. Les hémérocalles sortent de terre.

Les tulipes montrent le bout de leurs feuilles, après les jacinthes.

En ville à Valence, les iris sont en fleur ! (Photo prise avec mon téléphone).

Et juste pour vous, photo prise mardi matin. Lever de soleil sur une mer de nuages. Ce phénomène est fréquent chez nous. Au dessus de la Vallée,il y a souvent ce genre de nuages qui donnent l'impression d'une mer.

Un mois de février bien printanier au jardin. Je n'ai jamais vu ça.

J'espère que le gel ne va pas griller tout ça. Chez nous, tant que le mois d'avril n'est pas passé, tout est à craindre.

Finie la balade au jardin. Bisous les filles.

A très vite.

Calinquette

Et oui, vous le savez, j'ai l'habitude de vous informer sur les événements qui se passent chez mes copines.

Rien de plus normal.

Aujourd'hui, il y en a deux qui soufflent des bougies.

La première vous propose de gagner une superbe paire d'ange parmis celles-ci, pour les deux ans de son blog, Maison de Coeur.

Le tirage au sort aura lieu le 26 février. C'est ICI, et c'est son billet du 5 février.

Je sais, je suis en retard, mais j'ai des excuses entre Villeurbanne et la grippe...

La deuxième, c'est mon amie Sara. Trois ans de blog! Cela ne fait pas si longtemps que nous nous connaissons, mais une réelle amitié est née entre nous.

Pour l'occasion, elle nous demande de lui faire plaisir avec des perles.

Vous avez jusqu'au 23 mars pour créer une mise en scène et la mettre sur votre blog.

A vos souris, les filles, je compte sur vous pour une petite visite.

Voici ma participation pour Sara. Je n'ai pas de vraies perles, alors j'ai fait avec les moyens du bord.

Une pomme en perles blanches, au mileu d'autres noires. A côté un collier ancien en perles de nacre ayant appartenu à ma maman.

Et là un collier ancien d'ambre. Ma mère pensait qu'il calmait les douleurs de poussée de dents des bébés. Ces deux bijoux sont des souvenirs de ma mère, partie bien trop tôt.

Enfin, chez Cécile, on fête quatre ans de blog !

A gagner, ceci :

A vos souris le filles !

Très belle journée. Bisouillettes.

Calinquette

Coucou les bichettes !

Fini les "vacances". Votre Calinquette est de retour à la maison.

Et pourtant cette formation a plutôt mal commencé... J'ai cru que la malchance de Capucine était tombée sur mes épaules.

D'abord, j'arrive à la gare. Mon train, réservé 15 jours avant, se trouve être "SUPPRIME" ! Mouvements sociaux. Tiens, ça existe à la SNCF ?

Restons calme. petit mari est déjà reparti. Cherche l'heure du prochain. Heureusement, il y en a un demi-heure plus tard. Mais celui-ci ne me laissera pas à Lyon Part Dieu, mais à Perrache...

Bon, changement de cap. Arrivée plus tard que prévu. Métro plus long que prévu. Bref, grâce aux mouvements sociaux, j'arrive à Villeurbanne bien après vingt heures.

Et Villeurbanne, c'est ça :

Pas top pour se changer les idées le soir...

J'ai réservé une chambre conseillée par mon employeur, en fonction du tarif qu'ils vont me rembourser. Car dans ma boîte, on fait l'avance des frais d'hébergement et de nourriture... Faut être motivée !

Ils m'ont envoyé les codes d'accès à la résidence, ceux du coffre pour récupérer la clé de ma chambre. Pour l'instant tout va bien. Chambre 407. Je prends l'assenceur.

Sur le site, on vous montre ça :

Petit studio bien mimi. Coin cuisine si on n'a pas envie d'aller au restaurant tous les soirs. La réalité, c'est ça :

Jusque là, rien à dire.

Le lit.

Quand on y regarde de plus près, ce n'est pas un lit, mais un canapé ! Je vous dis pas mon dos ! Une semaine à ne presque pas dormir. Ca couine, ça craque, c'est inconfortable.

Et en plus, le frigo de la cuisine est super bruyant, tout comme la VMC qui fonctionne en permanence. Je suis en face de l'ascenseur qui fait "ding" à chaque fois qu'il s'arrête...

Et puis, internet, c'est ça :

Pas de Wifi, mais la bonne vieille prise ethernet... Sauf que ça ne fonctionne pas. Presque, les agents d'accueil te traitent de débile mentale. Je dors au quatrième étage, et descends une dizaine de fois pour essayer de régler le problème qui vient, selon eux de ta profonde débilité. Sauf que le lendemain, l'hôtesse du jour m'avoue qu'effectivement, ils ont un problème de réseau.

Et ce super service est facturé un euro par jour !

Heureusement pour eux, cela ne figure pas sur ma facture.

J'ai parfois eu accès à ma messagerie, mais impossible d'aller sur Canalblog et plein d'autres sites. Cela commençait bien. Une semaine dans ce trou perdu, sans Internet !!!

Mais Calinquette est pleine de ressources, elle a mis en place le système D. Utiliser le téléphone portable en temps que modem. Ca fontionne, mais ça rame. Mais bon, cela m'a permis de vous rendre des petites visites... J'ai qaund même du rallonger mon forfait Internet auprès de mon opérateur, par rapport à mon plan B et que j'ai épuisé mon crédit. Deux euros. Ce n'est pas grand chose, mais je trouve ça un peu difficile à avaler à l'heure actuelle.

La cerise sur le gâteau, c'est le petit mot qu'on vous laisse dans votre chambre. On ne vous informe pas avant... Dans ce genre d'hôtel, le lit et le ménage ne pas fait de toute la semaine. Et c'est à vous de descendre vos poubelles avant de quitter les lieux, sous peine de payer 29 euros de frais de nettoyage ! Je ne rigole pas. En voici la preuve :

En journée, formation. Le soir, chambre. Parce que le temps n'a pas bien été de la partie et que je n'étais pas en grande forme entre la fatigue que la grippe m'a laissé et le manque de sommeil.

Un seul soir je suis sortie avec deux collègues.

Direction Lyon.

Pour celles qui me l'ont demandé, quelques photos des endroits où je suis allée, prises sur Internet. Même pas eu envie de sortir mon appareil photo. Vous dire ma motivation !

De la place de la république au théâtre.

Deux heures de shopping.

J'aime beaucoup la Place des Brotteaux.

Le Théâtre.

 Le dernier soir, nous devions nous faire un repas tous les stagiaires ensemble dans un petit bouchon lyonnais, après être allés à Fourvière et dans le Vieux Lyon, mais cela a capoté. Remis à une prochaine fois.

Du coup, pas de grandes folies durant ce séjour. Métro, formation, et pas dodo (à cause du canapé lit).

J'ai juste acheté ce joli tissu et ces petits noeuds, et du parfum pour mon homme à l'occasion de la Saint Valentin.

Donc, bien heureuse de rentrer dans ma petite maison en ce vendredi de Saint Valentin.

J'espère que votre petite fête en amoureux s'est bien passée, pour toutes celles qui ont un compagnon.

Perso, ce fut ceci :

Passez une belle fin de semaine. Gros bisous

Calinquette

Petit billet enregistré avant de partir en formation.

Tous les jours, je passe devant lui pour me rendre à mon travail. Ce petit kiosque qui a inspiré deux célébrités bien connues. Et qui représente pour beaucoup l'amour illustré. Il a été construit en 1890 par l’architecte Eugène Poitoux.

C'est en 1942, devant le kiosque à musique de Valence que Raymond Peynet (1908 – 1999) imagine son petit couple.

"Assis sur un banc, j'ai dessiné le kiosque qui se trouvait devant moi, avec un petit violoniste qui jouait tout seul sur l'estrade et une petite femme qui l'écoutait et l'attendait. On voyait aussi tous les musiciens qui, ayant rangé leurs instruments dans leurs étuis, s'en allaient dans le parc de Valence." Les amoureux naissent peu après.

Les « amoureux », le poète et sa compagne, sont donc nés à Valence, inspirés par ce kiosque à musique connu depuis sous le nom de kiosque Peynet. Ils ont inspiré la chanson « Les amoureux des bancs publics » de Georges Brassens.

Le kiosque à musique de Valence devient l'image symbolique de Peynet qui le représentera fréquemment dans ses œuvres, à tel point qu'en 1982, la ville de Valence le classe monument historique sous le nom de "kiosque des amoureux de Peynet".

Les amoureux s'intègrent petit à petit dans tous les graphismes de l'artiste, de telle sorte qu'ils perpétuent au fil des ans le couple heureux et inséparable. Ils sont souvent accompagnés d'angelots, de chérubins et de jeunes oiseaux, messagers évocateurs de paix et de liberté.

 Dans les années 1960 et 70, les bijoux Murat ont produit de très nombreuses médailles, des épingles à cravates et boutons de manchettes, plus rarement des montres, en plaqué or, or ou argent, à l'effigie des amoureux de Peynet. Ces bijoux sont aujourd'hui collectionnés. Des tirages à partir des moules d'origine et de nouvelles séries sont encore aujourd'hui édités.

De même, dans les années 1950 et 60, les poupées en mousse de latex des amoureux de Peynet ont connu un grand succès, environ 6 millions d'exemplaires vendus 1, avant d'être détrônées par les poupées Barbie. Les poupées Peynet sont activement collectionnées mais le latex s'est souvent dégradé avec le temps. Des éditions récentes, souvent de moindre qualité, s'inspirent de cette production.

 Les personnages figurent également sur des porcelaines (Couleuvre dans les années 1950, Rosenthal dans les années 1960).

 Outre de nombreuses illustrations de livres, Peynet a aussi axé son travail sur la production d'affiches publicitaires puis, dans les années 1980, de lithographies représentant les amoureux dans des scènes variées et des eaux-fortes « les signes du zodiaque ».

Les amoureux ont été déclinés en timbres en 1985 en France, en oblitération à la poste de Saint-Valentin dans l’Indre chaque 14 février et en cartes postales. Le timbre français de 1985, « La Saint-Valentin de Peynet », est de couleurs pastel. La scène champêtre représente un couple d’amoureux près d’une boîte aux lettres en forme de cœur dans laquelle deux anges postent des enveloppes. En 2000, La Poste française a repris ces deux personnages pour un timbre-hommage à l'illustrateur décédé, représentant cette fois-ci les deux personnages près d'un kiosque à musique.

En 2002 sort également une bouteille de champagne dont l'étiquette et la plaque de muselet sont illustrées par les amoureux de Peynet, pièces devenues rares à ce jour.

En France, deux musées sont consacrés à Peynet : un à Antibes et un à Brassac-les-Mines, la ville de naissance de sa mère. Au Japon, il existe également deux musées consacrés à l'œuvre de Peynet, à Karuizawa et Sakuto. En 1987 Raymond Peynet fut promu Commandeur de l' Ordre des Arts et Lettres .

Deux fois par jour, je passe devant le temple de l'amour et j'ai pensé qu'il était de bon ton, en cette fête des amoureux, de vous parler de cet endroit.

D'un côté la vieille ville. De l'autre, une belle vue sur le Château de Crussol (Ardèche).

Je vous parlerai un autre jour des ruines de Crussol. Juste vous le montrer.

Côté ville, un coeur en bronze avec nos amoureux.

Tout autour, des lyres. Une au nom de Mozart, l'autre pour Rossini, la troisième pour Beethoven, et la quatrième pour Offenbach.

Parfois, avec l'habitude, on passe à côté de bien beaux monuments et on en oublie leur histoire. J'aime bien me rappeler à ces souvenirs.

J'espère que ce billet un peu sérieux en ce jour d'amour vous aura plu.

Passez une belle journée.

Bisous

Calinquette

Images issues du Net.

Après avoir réalisé mon cabas fourre tout, une idée a germé dans ma petite tête.

Je ne trouve jamais de sac à main qui soit pratique, avec plein de poches. Mes affaires finissent toujours par se mélanger et cela m'énerve.

Alors, j'ai pris la décision de créer le mien.

Comme nous sommes en hiver et que je n'aime pas cette saison, j'ai opté pour un tissu provençal me rappelant le soleil.

Il m'a fallu trois jours de congés pour le réaliser mais je suis fort contente du résultat.

Une pochette sur le davant pour mes clés.

Une doublure gris antracite assortie aux fleurs du tissu provençal. Une anse réglable, car en ville je porte mon sac en bandoulière.

Deux petites poches intérieures. Une grande au centre, partagée en deux.

Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place, ici aussi.

Une petite pochette assortie dans laquelle j'ai mis mon mini nécessaire de couture, mes limes à ongles, mon peigne, ma pince à épiler, bref, des trucs de filles,quoi !

Si mon portable sonne, je sais qu'il est dans la poche qui lui est réservée. Mon rouge à lèvre et mon baume sont dans une poche centrale, ma pochette fourre tout, dans l'autre, mes clés sur le devant.

Si, ça, ce n'est pas de l'organisation, je ne m'y connais pas.

Je ne suis pas encore Coco Chanel, mais je suis bien satisfaite du résultat.

Alors, vous en pensez quoi ?

Très bonne fin de semaine à toutes.

Gros bisous

Calinquette

Le dernier jour du mois de janvier, en rentrant chez moi, une enveloppe bien dodue.

Est-ce une de mes commandes ? Non, du tout.

C'est une personne qui a un coeur d'or qui m'a envoyé plein de jolies choses.

Une carte de voeux hand made.

De belles ailes d'ange. Et de jolis boutons pour mes créas.

De jolis petits noeuds, un bouton coeur en nacre et du bonheur en tissu.

De la dentelle. J'ai déjà une petite idée de ce que je vais en faire.

Et ce jolis coeur dans des tons de vieux rose que j'affectionne particulièrement.

De belles attentions qui m'ont réchauffé le coeur. Et cette gentille personne, c'est bien évidemment

Gaëlle.

Encore merci à toi ma belle d'avoir pensé à moi. Je sais que toi aussi tu as peu de temps et j'apprécie d'autant plus ces présents.

Tout plein de bisous rien que pour toi.

Juste pour information

Ce dimanche soir, je prends le train direction Villeurbanne. Je laisse petit mari et chatounette durant une semaine de formation. Je ne sais pas encore si je prendrai mon ordinateur. Ce qui signifie que si vous ne me voyez pas aller sur vos blogs ou répondre à vos messages, il ne faudra pas s'affoler.

D'un autre côté, les soirées seule risquent d'être longues. Alors je me tâte.

 Je rentrerai le 14 février, au soir, pour la Saint Valentin.

Cette année, il n'y aura donc pas de table des amoureux chez Calinquette. Elle ne peut être de partout à la fois. Je vous ai préparé un petit billet un peu culturel pour cette occasion. Cela changera un peu de nos habitudes...

Je vous souhaite donc une belle semaine. A très vite de vous retrouver.

Bisouilles

Calinquette

Toujours couchée, comme un gros bébé malade, qui, après la grippe a attrapé une angine blanche.

Fatiguée d'être alitée et incapable de faire grand chose, je me suis mise à rêver cet après-midi, après le billet de Claudie.

Parce qu'en plus, ce que je vois par ma fenêtre, c'est ça :

Alors je me suis mise à rêver de couleur.

Choisir un village coloré et ensoleillé.

Fermer la porte d'une maison, de manière à laisser la pluie et le brouillard dehors.

Allumer la lumière.

Faire de beaux bouquets tendres.

Choisir un plaid douillet.

Revêtir une belle robe et comme c'est mon rêve, être belle et mince...

Me faire un splendide coiffure. Toujours en rêve, car au quotidien, j'ai les cheveux très courts...

M'engoufrer dans une spirale de dentelle.

Regarder par la fenêtre et m'inventer un paysage joyeux.

Rempli de fleurs.

De belles couleurs.

Un endroit où les oiseaux ne sont pas en cage.

Où les coquelicots sont éternels.

Où le ciel resplendi.

Où les rivières sont belles à croquer.

Où la mer est toujours chaude et où les rochers sont de cristal.

Où les cascades sont source de régénérescence.

Où l'eau purifie tout.

Je ferme la porte sur ce rêve que je veux garder dans ma maison afin qu'on ne me le vole pas...

Mais je le partage quand même avec celles qui comme moi ont envie d'autre chose que la pluie, le vent et le brouillard.

A celles qui vivent dans l'Ouest. Parce que ce qu'elles subissent, il faut que ça s'arrête...

Je vous souhaite à toutes un beau rêve tout en couleurs.

Le mien a été réalisable grâce à Pinterest, qui finalement est une belle source d'inspiration... Quand on a le temps, ce qui n'est pas mon habitude.

Très belle soirée.

Calinquette