Décoration d'intérieur - La cuisine
Finalement, j'ai une petite soirée à vous accorder, avant les travaux du week-end. J'espère que les derniers posts que je vous avais préparés d'avance vous ont plu et fait patienter.
Nous allons visiter la cuisine, telle qu'elle était en 2008.
Sur les murs, en soubassement, j'ai fait un enduit à la spatule, sur lequel j'ai passé un rouleau spécial. Après, j'ai mis une cire adaptée de couleur jaune. Le haut est resté lisse et blanc. En guise de rideau, de la toile à beurre ancienne (chinée à 84 Mornas) et de double rideau, un vieux drap de lit en coton.
Sur le meuble bleu (que j'ai, comme je vous l'ai dit précédemment, fait moi-même, avec des palettes) un moulin à poivre, un autre à café, de vieux crochets en fer, de petites mesures en étain. Sur le micro ondes, une vieille burette à huile et un samovar chiné à Metz.
Au mur, à gauche, une vielle boîte aux lettres postale transformée en armoire à épices, à droite, un bassin à urine trouvé dans une poubelle, que j'ai désinfecté et dans lequel j'ai mis des fleurs séchées. A sa droite, une affiche publicitaire Banania (déjà présentée) et une grande poêle à longue queue (1,60 m).
Sous la boîte aux lettres, accroché au meuble, un panier à œufs ancien, dans lequel je mets ails, oignons et échalotes. Par terre, un pot à « cagadou », qui fait office de poubelle. Me demander si vous ne comprenez pas la signification de « cagadou », mais, cela coule de source.
Sur l’autre meuble que je vous ai déjà montré, une « biche », en ardéchois, c'est-à-dire un pot qui servait à récupérer le lait des chèvres, et qui sert mainteant de cache pot ; une planche à laver le linge et son battoir, de nombreux fers à repasser hérités et chinés. Vous pouvez aussi voir une de mes plaques publicitaires Maggi que je vous ai présentée il y a peu de temps.
De côté, de vieilles petites caisses dans lesquelles se trouvent de vieux interrupteurs et fusibles en céramique.
Déjà vue, la hotte enserrée dans une vielle cage à poules, chinée à La Voulte sur Rhône, dans l’Ardèche, accrochée par de vieilles chaines achetées à la Brocante des 4 sous que je vous ai présentée dans un de me précédents posts. Au dessus : un panier en osier, un pot à lait et deux vieilles cafetières jaunes en émail, ainsi qu’un pot à lait. Dedans, un coq jaune des poteries de (26) Dieulefit, où j'ai acheté un maginfique service en terre cuite violet :
Accrochés, à gauche, un peson et une mesure.
Le plan de travail.
Mélange d’ancien et de moderne. Derrière une plaque à induction, un pot à sel et d’autres lorrains, de sarreguemine, je crois (les gris).
Une reproduction de pots en grés pour la farine, le sucre, le café, le sel et le poivre, achetés, car en parfaite harmonie avec mon carrelage.
Vue du bar. A gauche, un serviteur en émail bleu, chiné à Vernoux en Vivarais (07), sur lequel se trouvent une louche et une passoire émaillées, jaunes, ainsi qu’un vieil entonnoir de la même matière, blanc zébré de bleu, une râpe ancienne. Dessous, un boc à lavements ancien, de même facture que l’entonnoir, dans lequel j’ai mis mes couteaux de cuisine.
Pour plus de discrétion, le frigo est enserré dans une niche, à côté de l’évier. La pendule est une reproduction.
Une vieille descente de lit en guise de tapis de sol.
C’est tout pour aujourd’hui.
Gros bisous & à bientôt de vous retrouver sur la blogosphère.