Toujours en état léthargique, je n'ai pas répondu à vos gentils mots qui m'ont beaucoup touchée, au plus profond de mon coeur. Je le fais aujourd'hui. Merci pour vos soutiens, votre amitié qui me permettent de tenir le coup. Ça compte énormément pour moi. Merci à celles qui m'ont proposé de parler avec elles, merci à celles qui m'ont proposé l'hospitalité. Merci pour vos petits messages quotidiens. Pour le moment,je ne suis pas bien bavarde. J'ai besoin de me centrer sur moi. Le peu d'énergie que j'ai je le garde pour le travail et tenir debout. Grâce aux médicaments, je recommence à dormir un peu. C'est déjà ça.
Je suis revenue chez moi. Je ne pouvais garder le studio plus longtemps. Dans ma tête, c'est déjà plus clair et je sais ce que je veux faire de ma vie maintenant. Il me fallait prendre le large, c'est ainsi. Il va y avoir des changements, mais ce sera pour un mieux.
Je ne vais pas vous pourrir le dimanche avec mes histoires. Je voulais juste vous donner des nouvelles. Voilà, c'est fait.
C'est étrange, j'avais commencé de préparer ce billet avant de partir. Je ne pensais pas encore agir ainsi. Je pensais que je pouvais continuer encore. Alors, j'avais fait un petit quelque chose pour la maison. Pour le repos des soirées d'été.
Quand c'est mort, c'est mort !
Si c'est matériel, c'est plus facile que le sentimental. Il ne faut plus hésiter. Jeter le tout et recommencer.
Ce matelas de bain de soleil était vraiment fichu.
Et que dire de ces galettes de chaises restées deux hivers dehors ?
Avec l'aide de ma douce assistante, j'ai encore une fois ouvert la malle aux tissus.
Epuisant de choisir parmi tout ça !!!
Mon choix s'est encore porté sur de la toile à traversin et de la broderie anglaise.
Cela incite mieux à venir traînasser au soleil.
Et à s'asseoir à la table boire une bonne citronnade ou autre chose.
J'étais prête pour l'été !
Bisouilles. Je reviens vers vous dès que possible.
Calinquette