Avant de commencer mon billet, j'ai quelque chose à vous demander. Je rencontre un problème depuis avant hier. Je ne peux plus laisser de commentaires sur vos blogs. Je n'y ai plus accès. Cela vous est-il déjà arrivé ? Comment réparer le problème ??? SOS ! J'ai contacté le support, mais pas encore de nouvelles d'eux. Merci d'avance !
En attendant, je reviens à mes moutons...
Troisième volet de mon escapade.
Lisbonne.
Asseyez vous, prennez un café ou un thé, c'est un très long billet. Je vous montre en une seule fois ce que j'ai vu en trois jours et demi.
De grandes places aux immeubles blancs et ses marchands embulants. Le tramway et le funiculaire nous aident à monter les côtes, ainsi que l'élévateur créé par Gustave Eiffel.
Le château Saint Georges.
Lisbonne et ses petits pavés glissants, ses innombrables pigeons.
Je ne vais pas vous énumérer tous les endroits que j'ai vu, ni les monuments. Profitez juste des images.
De nombreuses églises rivalisant de splendeurs à l'intérieur.
Le parlement où nous avons trouvé une manifestation de paysans.
Quand je vous dis que ça monte à Lisbonne... Prenez un des funiculaires et vous pourrez dominer la ville. En plus, ils sont superbes à l'intérieur...
De superbes vues. Encore des azulejos, pour mon plus grand plaisir.
Le monastère Sao Vincente est superbe. Une autre vue en hauteur, du côté de l'Alfama, quartier que j'ai vraiment apprécié.
Détails et azulejos artisanaux.
A l'Alfama, nous sommes tombés sur un marché artisanal et de brocanteurs. De bien belles choses, et peu chères par rapport à la France.
Je m'attarde ici, où j'ai trouvé une créatrice pleine d'ingéniosité. Elle fait des lustres et des bijoux avec des capsules de café usagées. Une splendeur ! Séraphine, j'ai pensé à toi, avec elle et les nombreux magasins où l'on trouve de quoi faire tes si beaux bijoux...
Je lui ai acheté un collier et son bracelet assorti, c'est bluffant :
Ici, je fais une parenthèse pour vous montrer toutes les splendeurs que l'on peut voir au musée des azulejos, que je ne pouvais pas ne pas visiter :
La cathédrale, contrairement aux églises, brille par sa sobriété.
Nous y avons rencontré un homme costumé qui nous a expliqué l'histoire de Lisbonne. Un vrai puits de savoir sur cette ville, où l'on trouve aussi de nombreuses animations dans les rues, comme cet homme doré qui semble ne pas toucher terre.
Et puis il y a l'attraction locale : les bars à Ginja (ou ginginha). Un alcool de griotte que l'on boit au comptoir. C'est super bon et après deux verres, on dort comme un bébé...
Avec le liège, ils font de tout, du porte monnaie au sac, en passant par les cravates, les parapluies, etc. La place des commerces.
Et puis Belem.
Bélem, où nous avons rencontré un homme qui transforme des pièces de monnaies internationales en bijoux, en les découpant savamment à l'intérieur. Nous en avons tous acheté une.
Visite de la tour.
Jéronimo. Magnifique ! Un havre de paix.
Dans la patisserie très réputée nous avons mangé les Pasteis de Belem. Spécialité. Avec Mireille, nous avons visité le musée des carosses, impressionnant.
Puis retour vers le centre ville,dans un quartier réservé aux antiquaires et brocanteurs. C'est là qu'on regrette d'être partis en avion...
Encore le monastère Sao Vincente et ses alentours.
Balades en ville. Ginja, amendoa (liqueur d'amandes) au comptoir avec jambon local (on est en vacances ou pas).
Au détour des rues, de superbes magasins. Un marché de créateurs, des bijoux en liège, des créas papier, etc.
Dans le centre.
Animations de rues : musique, chants, chien qui fait la quète, homme statue, magasin "Au bonheur des dames", peintre...
Voilà. La visite est terminée. J'espère que cela vous aura plu, autant qu'à moi. Je termine par une carte postale du Portugal, avec des chats, alors que je n'en ai vu que quatre durant toute la semaine... Heureusement que j'en ai trouvé plein en bijoux et azulejos que j'ai ramenés à la maison, ou pris en photos pour les plus chers et les plus gros.
Un seul regrêt, ne pas avoir eu le temps de visiter Sintra. Ce sera pour une prochaine fois. En avion, c'est vite fait, à peine deux heures.
Je vous dis au revoir pour aujourd'hui et vous fais plein de poutous.
A très vite.
Calinquette