Me revoilà. Avec une envie de parler de décoration d'intérieur. Avant d'attaquer ma salle à manger, j'avais commencé par la salle de bains Je vous l'ai montrée en mars dernier telle qu'elle était avant. Un petit rappel en photos :

Les murs étaient peints en parme, un rideau à mes initiales cachait ce qui se trouvait sous la paillasse. Un vieux meuble était décoré d'animaux divers (une envie de mon mari, que je n'aimais pas du tout). Une échelle à poule pour les serviettes.

On se lasse vite du parme en décoration. Je souhaitais autre chose que des animaux dans ma salle de bain que je voulais moderniser. En plus, le rideau était souvent sale et les chats te cachaient dessous, juste sur les serviettes de toilette. Pas très hygiénique.

J'ai peint les murs en vanille.

Ensuite, j'ai commencé par relooker le meuble. J'avais envie de silhouettes de femmes. Je les ai peintes en noir, comme des ombres chinoises, sur du blanc cassé.

Le porte serviettes s'est lui aussi recouvert de blanc cassé.

Tout comme le miroir que j'ai ensuite légèrement patiné de doré.

Ensuite, j'ai fait un cadre sous la paillasse, auquel j'ai mis des portes faites dans du mélaminé de récupération. J'ai peint les mêmes silhouettes que sur le meuble, sur chacune des portes. Et ça donne ceci :

J'ai enlevé plein de petits objets inutiles. Je n'ai gardé que mes plaques émaillées et quelques petites choses, comme ci-dessous un ancien porte éponges. Détails :

J'ai venudu l'ancien lumiaire en cuivre (trop pénible à nettoyer) pour un autre à pampilles.

Voilà. Cela fait trois ans que j'ai fait ça, mais j'ai retrouvé des photos en les transvasant de mon ancien ordinateur à l'actuel. Ainsi cela m'a donné envie de vous montrer ce petit changement.

A bientôt

Calinquette

Coucou, alors comment ça va ? En ce qui me concerne, impécable. Je suis en congés et prépare le repas de quarante personnes de dimanche prochain. Au passage, je bricole un peu pour vous montrer queques petites déco bidouilles dès la rentrée.

Après avoir changé la décoration de la salle à manger-salon, vous pensez bien que je me suis attaquée à la cuisine qui, elle aussi, était trop chargée.

Souvenez-vous comme c'était avant. Beaucoup de brocantes, un meuble bleu fait avec des palettes qui finit maintenant sa vie dans le garage, pour les confitures.

Une table ronde et des chaises marrons. La table est partie dehors, tout comme les chaises qui étaient en fait au nombre de six et qui sont maintenant bordeaux et me servent de salon de jardin (tutos des 25 & 29 juin). Le soubassement des murs était jaune.

J'ai gardé ce meuble, mais j'ai enlevé des brocantes qui sont allées dans des meubles ou dans le garage.

La hotte de cuisine était insérée dans une vieille cage à poules.

De nombreuses brocantes sur le bar.

De vieux pots un peu de partout sur le plan de travail.

Bref, style brocante, mais un peu trop chargé pour moi à présent.

La hotte devenait très difficile à nettoyer, et j'ai décidé de la changer. J'en ai pris une plus moderne qui laisse d'ailleurs mieux passer la lumière dans la cuisine.

J'ai tout enlevé sur le bar, à part quelques plantes.

J'ai peint les murs tout en blanc, tout comme la table de la cuisine où et j'ai repris l'initiale des galettes de chaises (que je vous ai montrées dernièrement), pour la mettre au centre, puis j'ai mis une plaque de verre dessus. J'ai acheté de nouvelles chaises.

Le meuble en palettes n'a pas été remplacé. J'ai sorti le frigo de sa niche, à côté de l'évier, pour le mettre près de la fenêtre. Dans la niche, j'ai fait des étagères pour recevoir tout ce qui était dans le meuble, le tout caché par un rideau gris.

Des détails.

Sur le meuble bleu que j'ai gardé, presque plus de brocantes.

L'ancienne niche du frigidaire transformée en placard.

Détails.

PLus rien sur le plan de travail. Les pots sont dans les tiroirs.

Détail.

Détails.

La lumière de la baie vitrée rentre enfin dans la cuisine qui est bien plus claire.

La semaine dernière, j'ai essayé la station de peinture que j'ai reçue de Bosch. J'ai repeint le plafond de la partie à vivre (près de 60 m²). Plus de marques au plafond, tout est propre, nickel.

La cuisine, comme le reste de la partie à vivre est devenue plus claire et plus facile d'entretien. Plus de petits objets à nettoyer toutes les semaines... Et c'est aussi plus facile à vivre.

Je ne sais pas ce que vous en dites, mais, personnellement, je préfère.

Voilà, la partie jour rénovée en entier. La saga de l'été est vraiment finie, cette fois-ci.

A une prochaine fois pour quelque chose de différent. En attendant, je continue la préparation de l'anniversaire du 19 août, mais je ne vous en dit pas plus pour l'instant. Je ferai un post dessus lorsque ce sera fini, sinon, copains, copines et famille n'auront plus de surprise s'ils viennent sur le blog.

Je vous embrasse bien fort et vous dit à bientôt.

Calinquette

On prend les mêmes et on recommence... Je continue ma série "partie à vivre".

Dans mon changement de décoration, je me suis créé un petit coin lecture. De la salle à manger Henri II, j'avais un buffet, une table, six chaises assorties et une septième, plus haute et plus travaillée.

J'ai voulu la mettre en valeur et pour cela j'avais beoin d'une console. J'ai récupéré celle qui était dans le bureau avant que je le redécore lui aussi. Rappelez-vous, au départ, c'était un lustre, du temps de mes parents. Je l'ai d'abord patiné en parme et changé son abat-jour. Puis, je l'ai transformé en console en coupant le haut. Dans sa nouvelle fonction, il est resté console, mais peint en gris.

J'aime bien l'association de ces deux meubles.

A cette époque, Manon était à l'école de menuiserie. Elle a été amenée, lors de travaux pratique à fabriquer un encadrement avec une porte. Elle voulait tout jeter, mais je m'y suis opposée. J'ai tout de suite vu ce que je pouvais en faire. J'ai mis des charnières pour tenir la porte dans son cadre et un petit crochet de fermeture. J'ai peint le tout en gris, le même que pour la salle à manger Henri II.

Au  départ, je voulais en faire une applique lumineuse, mais je n'ai rien trouvé qui me plaise. Alors, je me suis rabattue sur autre chose. Je suis allée sur un site génial de moulures en résine, celui de New Antique      http://moulure-decorative.com/

J'ai acheté des moulures que j'ai peintes de la même couleur que la porte.

Je les ai collées dessus et voilà le résultat final :

 J'ai trouvé deux jolis bougeoirs dans le magasin où travaille maintenant Manon, bien assortis à mes couleurs. Ici, avec des décorations de Noël.

Et voilà comment je me suis créé un peti coin boudoir que j'apprécie beaucoup.

Et ce n'est pas encore fini. Je vous réserve la suite pour la prochaine fois. Abientôt pour la suite du feuilleton de l'été...

Calinquette

Comment ça va aujourd'hui ? Bien, j'espère.

Pour ma part, je continue ma saga changement de déco de la partie jour.

Après avoir relooké mon buffet Henri II, mon regard s'est tourné vers mes canapés. Après trois ans de bons et loyaux services, ils n'étaient plus tout propres. Du blanc cassé avec des chats qui vont dehors et des enfants souvents présents à la maison, leur ont valu quelques taches. Comme ils n'étaient pas déhoussables, pas facile de les nettoyer.

Je suis retournée chez mon marchand de tissus et j'ai racheté le même que pour les chaises Henri II, ainsi qu'un autre gris moyen. J'ai donc entrepris de refaire des housses, amovibles, cette fois-ci...

Mes canapés avant changement :

 Mes nièces avaient fait de jolis dessins sur la table, au feutre rouge qui avait bien imbibé le bois cérusé. Pour éviter à nouveau ce problème, j'ai fait couper du verre pour mettre dessus, après avoir repeint la table du même gris que la salle à manger. Le meuble téléphone a lui aussi été repeint en gris.

Je reviens à mes canapés. J'ai fait des patrons papier directement sur eux. J'ai ensuite reporté les modèles sur les tissus.

Khanna-Byss adore la couture. Dès que je sors ma travailleuse ou ma machine à coudre, elle est avec moi. Elle me gène plus qu'autre chose, mais ce n'est pas grave, c'est un jeu entre nous...

Avec le tissus gris et blanc, j'ai recouvert les assises.

Avec le gris, j'ai fait la structure. Des coussins ont été recouverts des deux tissus.

Le résultat, un salon complètement assorti à la salle à manger.

Et un Opium, même bien sale peut s'y reposer dessus, puisque tout est amovible et peut passer en machine. Elle est pas belle la vie ?

Comment trouvez-vous ce changement ? J'attends vos observations..

Je vous fait de grosses bises et vous dit à bientôt pour la suite...

Calinquette

Bonjour tout le monde,

Je continue sur le changement de déco de la partie jour de ma maison, qui était devenue trop vieillotte à mes yeux. Besoin de renouveau, de modernisme, de clarté. Après avoir patiné certains meubles de mon salon, de manière à ne plus voir ce marron foncé qui me déprimait, je me suis attaquée au plus gros chantier jamais réalisé par mes soins. La salle à manger. Cela m'a pris trois semaines de vacances, et il m'a fallu encore du temps par la suite pour tout finaliser. Mais avec moi, finalement, est-ce que les choses sont vraiment terminées ? J'aime tellement changer de décoration que cela bouge en permanence.

Par contre, une chose est sûre, je ne suis pas prête à recommencer ce que je vais vous montrer aujourd'hui, à savoir le relooking de ma salle à manger Henri II. Un travail colossal. 

Rappelez-vous la salle à manger avant :

J'ai continué de virer mes brocantes. La commode à changé de place, comme je vous l'ai montré précédemment. Elle est allée côté salon, dans l'entrée. Je l'ai remplacée par la vieille machine à coudre de ma grand-mère, repeinte en gris et blanc (tuto précédant). Ensuite, je me suis attaquée à la salle à manger Henri II. Pièce par pièce.

Le buffet a été démonté en deux parties. Je l'ai déciré avec de la lessive Saint Marc et de la lessive de soude. Je ne pouvais pas le poncer, d'abord parce qu'il n'était que ciré, ensuite à cause des moulures. J'ai fait de même avec la table. Cette étape m'a pris trois jours entiers, avec l'aide de ma fille Gwendoline.

En ce qui concerne les chaises, là, il m'a fallu poncer. Elles étaient vernies. Cependant, étant donné la fragilité du bois et le fait qu'elle ne sont que moulures, j'ai été obligée de tout faire à la main. Des kilomètres de papier de verre. Au total, il m'a fallu plusieurs semaines pour faire les sept chaises, entre ma période de congés et après la reprise de mon travail. Il m'a fallu aussi toutes les recoller.

Les chaises étaient cannées, mais le cannage était très abîmé. Mon papa savait très bien le faire et il m'avait montré. J'ai longtemps hésité à me lancer là-dedans, sachant que je voulais moderniser l'ensemble. Et puis, en faisant les magasins de tissus, j'ai craqué sur un modèle gris et blanc. J'ai alors décidé de changer complètement le style des assises. J'ai donc démonté les cadres de chaque chaise et j'ai enlevé tout le cannage.

La grande chaise avant, sur laquelle trône mon adoré de chat, Wendy, décédé en 2000  :

Une chaise en cours de nettoyage :

Ensuite, j'ai procédé à la mise en peinture des meubles. J'ai opté pour un gris montgolfière. Gris clair. Il m'a fallu deux couches à chaque fois.

Opium m'a bien aidé dans le travail des chaises...

Pour faire les nouvelles assises, il m'a fallu faire un gabarit papier pour chaque chaise. Elles sont si vieilles (elles me viennent de mes grands-parents) et ont travaillé si différemment, qu'aucune n'était la même. J'ai donc fait un patron par assise, que j'ai reproduit sur du médium. J'ai ensuite réalisé des taquets avec des tasseaux de bois, pour qu'ils se plaquent contre les cadres, de manière à ce que rien ne bouge. Par précaution, je les ai en plus vissés dans les cadres. J'ai ensuite mis dessus des coussins de mousse, que j'ai préférés à du remplissage, voulant un effet bien bombé. J'ai coupé le tissus en dépassant de dix centimètres autour de l'assise, puis je l'ai retourné et cloué au dos avec des clous tapissiers. J'ai ensuite cupé le surplus de tissus.

Pour la grande chaise, j'ai été amenée à faire sur l'ancienne partie cannelée du dossier, un fond en contreplaqué, que j'ai couvert de tissus au dos, un autre devant, rembourré avec de la mousse pour table à repasser, le tout collé.

Le plus difficile, ensuite, a été de remonter le buffet. Nous n'étions que trois : mon mari, ma fille Gwendoline et moi. Cela n'a pas été une partie de plaisir, car mine de rien, le haut est très lourd ! Et en plus, il faut qu'il rentre pile poil dans les balustres. Cela nous a pris un bon moment. Mais alors que nous allions abandonner, il a cédé ! Il s'est enfin mis en place.

Et voici le résultat final ! J'avoue que cela valait la peine, car, en ce qui me concerne, je suis très fière de ce travail. Tout est devenu plus clair dans la maison, la salle à manger a pris un coup de jeune. Par contre, une chose est sûre, je l'ai dit et je le redis : je ne suis pas prête de recommencer...

Pour mettre sur les clés du buffet, j'ai fait des petits coeurs en pâte à sel, que j'ai peints en gris gustavien et sur lequels j'ai posé un tampon écriture passé à la peinture des meubles. J'y ai ajouté des pompons faits avec les fil d'un vieux rideau.

J'attends vos commentaires afin de savoir ce que vous en pensez...

Calinquette vous dit à bientôt, pour la suite de la rénovation de la pièce à vivre... Et non, ce n'est pas fini !

Pendant quelques temps, je ne vais pas être très disponible. Encore une semaine de travail avant de partir en congés. Il me faut donc tout mettre en ordre au boulot. De plus, je commence à préparer une grande fête de quarante personnes pour le 19 août. Je dois tout faire de la décoration de table au repas. Je ne vais donc pas être des plus disponibles.

Je pense quand même à vous. Je vous ai préparé une série sur le renouvellement de ma décoration de la salle à manger salon. Huit épisodes en tout. Ils sont programmés pour que vous ne vous ennuyez pas... Ici commence le premier. Vous pouvez quand même me laisser vos commentaires, j'aurais bien le temps de les lire...

En 2009, après trois ans de la maladie de mon mari, je me suis retrouvée très fatiguée, à tout faire dans la maison, en  plus de mon travail. Pour me faciliter la vie, j'ai réglé un  premier problème : le ménage.

J'ai enlevé la majorité des brocantes qui se trouvaient dans la maison. Certaines ont été vendues, d'autres mises dehors. J'ai gagné du temps au niveau de la poussière, tout comme en ce qui concerne une partie de mes meubles foncés que j'ai patinés et cérusés en blanc (la poussière se voit moins sur le clair que sur le foncé...).

J'ai commencé par la bibliothèque.La voici avant...

... et après. J'ai  vendu quelques livres, et j'ai mis, à la place, mes cuivres, que je nettoie maintenant, seulement une seule fois par an.

J'ai eu aussi envie de changer ma décoration pour quelque chose de plus clair, d'un peu plus moderne, dans les tons de gris et blanc, pour un mix de gustavien et de shabby chic.

Rappelez-vous, le salon avant. Beaucoup de brocantes, des canapés dans des lits anciens. Les murs blancs.

En faisant les magasins, je suis tombée sur de jolis rideaux gris et blanc, des galettes de chaises et des maniques assorties, le tout monogrammé aux initiales des habitants de la maison, c'est à dire celle de mon mari, celle de ma fille Manon qui vivait encore avec nous, et la mienne.

J'ai acheté six doubles rideaux pour la salle à manger, le salon et la cuisine, et me suis rapidement attaquée au changement que je souhaitais opérer pour plus de gaité dans ma maison.

J'ai commencé par relooker ma vieille machine à coudre. Avant, après :

Ensuite, j'ai peint le soubassement des murs de bayadères grises, avec une peinture effet métal (léger).

J'ai patiné le meuble de téléphone. Avant et après :

J'ai acheté de nouveaux canapés plus modernes.

La commode a elle aussi été relookée. Je l'ai peinte en gris montgolfière, tout comme le miroir qui la surplombe. Elle a échangé sa place avec la machine à coudre. Avant, après.

Le confiturier a été patiné, et il a changé de place, se rapprochant de la cuisine.

Voilà le début des changements de ma pièce à vivre. Beaucoup plus claire et facile à vivre. Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je trouve que cela a donné un coup de jeune à ma décoration d'intérieur. Mais ce n'est pas fini, d'autres changements ont eu lieu. Suite la prochaine fois...

Souvenez-vous, il y a quelque temps, je vous ai parlé des brocantes que j'avais faites et qui m'ont rapporté assez d'argent pour que je puisse investir dans la décoration de la maison. Et bien, pour tout vous dire,  j'ai commencé par acheter un lit en fer forgé de couleur paille, pour le mettre dans le bureau.

En effet, ayant souvent la visite de ma famille et de mes amis,  j'étais à chaque fois obligée de demander à ma fille de prêter sa chambre, et, peucherounette, elle atterrissait toujours dans le petit lit du bureau.

Le problème, c'est que cette pièce est toute petite, avec en plus, un angle coupé au niveau de la fenêtre.

Souvenez vous avant. Sur le plan, je vous ai mis l'emplacement des meubles au début :

Les photos du bureau avant :

C'était très chargé. Je voulais donc éclaircir, tout en mettant un lit deux places. La première chose que j'ai faite, c'est d'enlever le dressing. Au niveau des murs, qui, je vous le rappelle étaient blancs, avec une frise bleue peinte à la main. J'ai eu envie d'une couleur à la mode à ce moment-là : le taupe. Pour donner l'impression d'une pièce plus grande, j'ai opté pour des rayures. Les verticales donnent l'impression d'une pièce plus haute. Les horizontales, d'une pièce plus large. J'ai fait un mix des deux. Des rayures en hauteur, au niveau des angles. Un soubassement en taupe. Le reste couleur paille, pour assortir au lit.

A cette époque, mon frère venait de décéder d'un cancer. J'ai hérité de l'armoire et des tables de nuit de la chambre de nos parents qu'il avait récupérées. J'ai poncé l'armoire qui était vernie. Je l'ai ensuite simplement cirée, après une semaine de travail, à cause des fleurs.

Les tables de nuit sans ponçage et l'armoire poncée :

J'ai supprimé le bureau qui est parti chez ma fille aînée qui venait de se mettre en ménage.  L'ordinateur étant en fin de vie, la fête de mères et le Noël suivant furent l'occasion pour mes filles de m'offrir un portable un portable. Ainsi, j'ai gagné de la place. Le petit lit est parti dehors, et est devenu un canapé d'extérieur.

Une fois la peinture sèche,  j'ai mis le lit dans l'emplacement de l'ancien dressing. Il y rentrait pile-poil. Voici le plan du bureau après :

J'ai acheté un rideau taupe pour la fenêtre, et comme je ne trouvais pas ce que je voulais pour les double rideaux, j'ai acheté les mêmes, en plus foncé. J'ai trouvé, par hasard des stickers de fenêtres chats, de couleur taupe. J'en ai mis deux sur les vitres. Les autres ont fini sur les murs.

J'ai trouvé un boutis uni, toujours de couleur taupe, un autre fleuri, plus clair et ses housses de coussins. L'ensemble se marie parfaitement avec la peinture des murs.

Le bureau, vu de l'extérieur (par la fenêtre) :

Détails des cadres se trouvant côté lit, sur le petit retour de l'ancien dressing, des peintures sur soie que j'aime beaucoup :

Au niveau de la porte, un sticker chat, juste au dessous d'un porte manteaux ancien, peint de la même couleur que les murs :

A côté de la porte, des cartes et un macaron en plâtre, avec des chats... Tout cela se reflète dans un long miroir, placé sur l'ancien retour de dressing :

Sticker chat, collé dans "l'alcove" :

Le lit, placé là où se trouvait le dressing :

Au dessus du lit, la tuile chat que je vous ai déjà montrée. Celle que j'avais peinte pour moi :

Un miroir ancien qui me vient de mes parents. Déjà petite, il était dans ma chambre.

Dans l'angle, j'ai fait une étagère sur mesure, aux couleurs des murs pour y mettre la lampe galets que j'ai trouvée en grande distribution, dont les couleurs s'assortissent parfaitement au reste. J'ai d'ailleurs supprimé l'ancien lustre marron à trois branches, pour une suspension carrée en tissus crème  :

Quand le soleil se lève, cela donne des effets de lumière que j'aprécie tout particulièrement :

Dernièrement, j'ai acheté deux petites méridiennes en lin, pour mes petites nièces qui viennent très souvent à la maison. Cela me fait du couchage en plus. Car parfois, il faudrait pousser les murs pour coucher toutes nos visites... Au-dessus trône une étagère qui  était vernie foncée (la même que je vous ai montrée dernièrement, dans mon garage, là où se trouve ma collection de boîtes en fer). Je l'ai peinte couleur paille. Dessus, de nombreux chats et mes brocantes de bureau (voir article correspondant).

La vue de la porte du bureau et de ma pendule chat, à côté de l'armoire :

Voilà. Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais personnellement, en plus d'être pratique en tant que chambre d'amis, cela fait beaucoup plus clair qu'avant. En tout cas, tous ceux qui dorment dans ce qu'on appelle maintenant l'alcove, s'y plaisent tout particulièrement. J'attends vos avis...

Par contre, j'ai un problème avec mon appareil photo. Il fait des tâches, mais je ne peut rien y faire, c'est à l'intérieur. Désolée donc pour ce désagrément. Mais son remplacement n'est pas à l'ordre du jour. Je vous rappelle qu'il me faut acheter une nouvelle voiture, à cause de l'accident d'il y a quelques semaines. L'assurance ne nous ayant toujours pas remboursés...

Bonjour les filles ! Avec ce temps pourri, le chantier terrasse n'avance pas. Je me mets au chaud quelques minutes et pense à vous. Et si on visitait la chambre, en 2008...

Les murs sont restés blancs. Une armoire ancienne, me venant de mes parents, un lit en fer blanc. Les tables de nuits que je vous ai déjà montrées, faites dans de vieilles caisses en bois. Plus tard, en septembre, j'ai achété à  la brocante des 4 sous de 07 Meysse, un meuble d'angle que j'ai totalement relooké.

Un dessus de lit que j'ai fait à partir d'un tissus imitation boutis. Coussins assortis. Au dessus des du lit, dans un vieux cadre, des peintures de Léon Zanella.

Dans l'angle, un voltaire rouge. Au-dessus la tuile chat que j'ai faite précédemment.

Le lustre vient des Saintes Maries de la Mer

Le rideau est en toile à beurre, le double rideau, un vieux drap en coton, à nos initiales (C&B).

J'avais de vieux miroirs. Je leur ai fait des cadres que j'ai peints en blanc cassé, patinés de doré. Dessus le miroir lui-même, j'ai peint des nus.

Fin septembre 2008, des affiches de chats ont remplacé les peintures de Zanella.

Dans une brocante, j'avais chiné une échelle en bois. Je l'ai poncée, cérusée de blanc, et j'ai peinte des fleurs rouges, en partant d'une copie de porte manteaux ancien, en porcelaine. Cette échelle sert de porte vêtements.

Le porte manteaux :

L'échelle avant :

L'échelle relookée :

En septembre, j'ai, sur le même style que l'échelle relooké un meuble d'angle chiné.

Le voici avant :

Le meuble pendant :

Une fois le meuble poncé (et il en fallu du papier de verre...), j'ai peint l'intérieur des moulures en rouge.

Puis j'ai ciré le bois.

Après, je l'ai cérusé de blanc :

J'ai passé une peinture effet rouillé sur les chanières et les boutons de portes :

Le meuble fini :

Un joli saladier de broc assorti, à l'intérieur de la niche et une chaufferette en laiton dessus.

Voilà, c'est fini pour aujurd'hui. Une éclaircie. Je retourne à mon chantier. A bientôt !

Finalement, j'ai une petite soirée à vous accorder, avant les travaux du week-end. J'espère que les derniers posts que je vous avais préparés d'avance vous ont plu et fait patienter.

Nous allons visiter la cuisine, telle qu'elle était en 2008.

Sur les murs, en soubassement, j'ai fait un enduit à la spatule, sur lequel j'ai passé un rouleau spécial. Après, j'ai mis une cire adaptée de couleur jaune. Le haut est resté lisse et blanc. En guise de rideau, de la toile à beurre ancienne (chinée à 84 Mornas) et de double rideau, un vieux drap de lit en coton.

Sur le meuble bleu (que j'ai, comme je vous l'ai dit précédemment, fait moi-même, avec des palettes) un moulin à poivre, un autre à café, de vieux crochets en fer, de petites mesures en étain. Sur le micro ondes, une vieille burette à huile et un samovar chiné à Metz.

Au mur, à gauche, une vielle boîte aux lettres postale transformée en armoire à épices, à droite, un bassin à urine trouvé dans une poubelle, que j'ai désinfecté et dans lequel j'ai mis des fleurs séchées. A sa droite, une affiche publicitaire Banania (déjà présentée) et une grande poêle à longue queue (1,60 m).

  Sous la boîte aux lettres, accroché au meuble, un panier à œufs ancien, dans lequel je mets ails, oignons et échalotes. Par terre, un pot à « cagadou », qui fait office de poubelle. Me demander si vous ne comprenez pas la signification de « cagadou », mais, cela coule de source.

 Sur l’autre meuble que je vous ai déjà montré, une « biche », en ardéchois, c'est-à-dire un pot qui servait à récupérer le lait des chèvres, et qui sert mainteant de cache pot ; une planche à laver le linge et son battoir, de nombreux fers à repasser hérités et chinés. Vous pouvez aussi voir une de mes plaques publicitaires Maggi que je vous ai présentée il y a peu de temps.

De côté, de vieilles petites caisses dans lesquelles se trouvent de vieux interrupteurs et fusibles en céramique.

 Déjà vue, la hotte enserrée dans une vielle cage à poules, chinée à La Voulte sur Rhône, dans l’Ardèche, accrochée par de vieilles chaines achetées à la Brocante des 4 sous que je vous ai présentée dans un de me précédents posts. Au dessus : un panier en osier, un pot à lait et deux vieilles cafetières jaunes en émail, ainsi qu’un  pot à lait. Dedans, un coq jaune des poteries de (26) Dieulefit, où j'ai acheté un maginfique service en terre cuite violet :

Accrochés, à gauche, un peson et une mesure.

Le plan de travail.

Mélange d’ancien et de moderne. Derrière une plaque à induction, un pot à sel et d’autres lorrains, de sarreguemine, je crois (les gris).

Une reproduction de pots en grés pour la farine, le sucre, le café, le sel et le poivre, achetés, car en parfaite harmonie avec mon carrelage.

 Vue du bar. A gauche, un serviteur en émail bleu, chiné à Vernoux en Vivarais (07), sur lequel se trouvent une louche et une passoire émaillées, jaunes, ainsi qu’un vieil entonnoir de la même matière, blanc zébré de bleu, une râpe ancienne. Dessous, un boc à lavements ancien, de même facture que l’entonnoir, dans lequel j’ai mis mes couteaux de cuisine.

Pour plus de discrétion, le frigo est enserré dans une niche, à côté de l’évier. La pendule est une reproduction.

Une vieille descente de lit en guise de tapis de sol.

C’est tout pour aujourd’hui.

Gros bisous & à bientôt de vous retrouver sur la blogosphère.

Bonjour,

Depuis quelques temps, je reçois de nombreux messages, tous plus gentils les uns que les autres, concernant mon blog. Je tiens à vous remercier chaudement, car cela m'encourage dans mes timides débuts. A toutes, merci beaucoup. A bientôt d'avoir de vos nouvelles.

Calinquette 

Aujourd'hui, je vous montre la salle à manger-salon, en 2008. A l'époque, comme je vous l'ai dit précédemment, j'étais très brocante. D'où une accumulation d'objets les plus insolites. Je vous invite pour une visite de mon ancien musée personnel...

J'ai souhaité, lors de la conception des plans, avoir une maison accueillante. Pour moi, cela signifiait entrer directement dans le salon. La pièce à vivre fait une cinquantaine de mètres carrés.

Derrière la télévision, une fourche à lavandes, chinée à La Baume de Transit (26) et un râteau en bois. Par terre, une vieille bonbonne paillée.

Dans l'entrée, La machine à coudre que maman avait héritée de sa mère et qui m'est revenue à son décès, sur laquelle trônent fers à souder, lampes à pétrole, une plaque Singer, un ustensile à lavement en étain, les jumelles que mon grand père a ramenées de la guerre de 14-18 et sa boussole, de vieilles lunettes de ma grand-mère, dans son boîtier en écaille, une jeannette (pour le repassage) sur laquelle reposent des dés en ivoire (dont certains tout petits dans un bouchon en bois, dévissable) et des bobines de fils à ruban, des bobines à dentelles, l'oeuf à repriser de maman. Dessous, un joli broc blanc et bleu. Par terre, un pulvérisateur en cuivre, dans lequel se trouvent une réédition d'épée, une pelle de boulanger, et une pince à castrer (beurk !) ; une sacoche d'électricien en cuir, et de vieux godillots qui servent de cache pots. Comme dit Nicole, je suis très conservatrice...

Et bien entendu, les canapés faits dans de vieux lits que je vous ai déjà montrés. Un meuble d'angle jaune, chiné à Nîmes.

Et mon chatou qui siège toujours à la même place...

Au tour de la salle-à-manger :

Une salle-à-manger Henri II, une commode et son miroir, hérités de mes parents. Une bibliothèque chinée à l'immense foire annuelle de Barjac (30), tout comme la meuleuse. Une barate à beurre.

La salle-à-manger vue de la cuisine

Au mur, des paniers de boulanger, une reproduction de hotte à chataignes. Sur la commode, une balance romaine; des poids, un réchaud à alcool. Par terre, un pulvérisateur  et un chaudon en cuivre qui sert de cache pot.

Ma bibliothèque qui renferme des livres et de nombreux chats de collection. De chaque côté, les vieilles caisses que j'ai relookées (voir article précédents). L'une sert de support à une plante et à l'intérieur, se trouve un petit tonneau. Sur l'autre, une lampe faite à partir d'un vieux moyeu de charette, qui repose sur un ancien jeu de société. Un pot de chambre en guise de cache pot. Au mur, une vieille grille pour barbecue et un panier en fer. Un crochet de boucher (à droite) sert de repose livre sur les chats. Mes obus, et un joug de boeuf se placent au-dessus du meuble.

La baratte à beurre (transformée, a l'intérieur, en porte bouteilles, une mesure à grains et une poissonnière en cuivre, une grande scie de bûcheron ; au mur, un tamis et une vieille affiche de chat (oubliée lors de mon dernier post).

 Ne dirait-on pas mon Opium ?

Le bar. Entre la salle-à-manger et le salon, un bar qui cache la partie technique de la cuisine. Tout au long du mur qui mène du salon à la cuisine, des brocantes.

Un confiturier chiné à Mornas (84), dans lequel, j'ai mis mes plus belles pièces de vaisselle ancienne. Au-dessus, un autre tamis, une vieille bouteille paillée, une lampe à pétrole en laiton, une perceuse à manivelle. Une chaufferette ardéchoise me sert de cache pot. Une crémaillère longe le meuble.

Le long du bar : une faux, une fourche à foins, un harnais de parade pour les chevaux, un cadran solaire, un cric à charrettes, sur la caisse en bois, un panier avec de nombreux outils anciens, un berceau de poupées en rotin qui sert de porte plantes, tout comme une vieille casserole en fonte. Sur une autre caisse, une bouillote en fonte.

Sur le bar, de gauche à droite : un appareil pour faire chauffer la cire pour les lettres (objet postal), un chandelier et une lampe à pétrole en laiton, une lampe tempête, une boîte à petits poids en laiton, la balance postale et ses poids, une autre boîte à poids, une boîte de bouillon Kub, une balance Roberval (celle de maman), des fioles en verre.

Au dessus : une fontaine à eau en cuivre, une hotte faite dans une cage à poules que surplombent un vieux pot à lait, deux cafetières en émail jaune et un panier à châtaignes. Accrochés à la hotte, un encensoir et une dose à lait.

Dans le passage amenant à la cuisine, une échelle à poules supporte mes cuivres (casseroles, passoire, écumoire, chaudron, casserole à confitures, moules à gaufres et à bricelets. Dessous, un chauffe plat en cuivre et un repose pieds en bois. A sa gauche, une échelle à cochons sur laquelle sont accrochés : une mangeoire à cheval en cuir, un coffin (étui pour lame à éguiser), une cloche à âne, une à vache, un pot à huile, une lampe à carbure, une poêle à châtaignes.  Sur un tabouret, un panier rempli de vieux outils. Par terre, une bouillotte en laiton et un pot à lait, avec sa mesure. Au mur, moules à gâteaux en cuivre, moule à beurre en bois, serres livres en bois.

Voilà, la visite est terminée pour aujourd'hui. J'espère vous avoir fait voyager dans le temps...

Nota Bene : si cela intéresse certaines d'entre vous, je vends la baratte et le harnais à chevaux. Voire d'autres objets. Me contacter si intéressées.